Le ministre Koné Katinan, porte parole du président Gbagbo vient d'être remis en liberté par la justice Ghanéenne, faute de preuves de son implication dans des activités de déstabilisation du régime Ouattara.

Une dernière chance a tout de même été accordée au régime Ouattara d'apporter des preuves à ses accusations. Une nouvelle audience de cette affaire aura donc lieu le 11 octobre prochain, mais comme nous vous l'annoncions hier, le gouvernement Ghanéen n'a apparemment pas l'intention de se faire dicter une feuille de route par le régime dictatorial de Ouattara. Ouattara en fermant les frontières, n'a fait qu' aiguiser les sentiments panafricanistes et indépendantistes du peuple Ghanéen. Une vraie automutilation de la part d'un régime dictatorial incapable de gouverner, qui doit pour survivre, et continuer de donner l'impression qu'il contrôle les choses, livrer chaque fois quelques "Pro-Gbagbo" à ses militants assoiffés de vengeance.

Source : ACC COMMUNICATION

AGORA Sthanislas